domingo, 12 de setembro de 2010

L'Affiche Rouge

Vous n'avez réclamé la gloire ni les larmes
Ni l'orgue, ni la prière aux agonisants
Onze ans déjà, que cela passe vite onze ans
Vous vous étiez servi simplesment de vos armes
Lá mort n'éblouit pas les yeux des partisans,

Vous aviz vos portrails sur les murs de nos ville
Noirs de barbe et de muit, hirsutes, menaçants
L'affiche qui semblant une tache de sang
Parce qu' à prononcer vos nons sont difficiles

Nul ne semblait vous voir Français de préférence
Les gens allaient sons yeux pour vous les jour durant
Mais a l'heure du couvre-feu des doigts errants
Avaient' écrit sours vos photo "morts pour la France"
Et les morms matins en etaient differénts.

Tout avait la couller uniforme du givre
à la fini fevrier pour vos deniers moments
Et c'est alors que l'un de vous dit calmament:
"Bonheur à tous, bonheur à ceux qui vont survivre
Je meurs sons haine e moi pour le peuple allemand"

"Adieu la peine et plaisir. Adieu les roses
Adieu la vie. Adieu la lumiere et le vent
Marie- toi, sois heureuse et pense à moi souvent
Toi qui vas demeure dans la beaute des choses
Quand tout sera fini plus tard en Erevan."

"Un grand soleiil d'heiver éclaire la colline
Que lá nature est belle et que le coeur me fend
La justiça viendra sur nos pas triamphonts
Ma mélinée, ô mon amour, mon orpheline
Et je te dis de vivre el d'avoir un enfant"

Ils étaint vingt et trois quand les fuzils fleurirent
Vingt et trois que dominaient le couer avant le temps
Vingt et trois etrangers el nos frères poutant
Vingt et trois amoreux de vivre à en mourir
Vingt et trois qui criaient "la France" en s'abattent.


Aragon





O poema acima veio de Ana Morais, Portugal, uma colaboração inestimada, e que fez-me recordar a minha infancia aqui no Brasil, quando tinhamos o francês no currículo. Ela de longe me emociona.

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Manoel Messias Pereira

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